de Katherine Pancol

Éditions Albin Michel Mars 2010

Katherine Pancol, depuis trois livres, nous entraine dans la vie et les aventures sentimentales et professionnelles de divers personnages.



Avec « Les yeux jaunes des crocodiles » et « La valse lente des tortues », aux titres accrocheurs, j'avais trouvé un certain plaisir (plus au premier qu'au second, d'ailleurs) à suivre Joséphine et ses filles Hortense et Zoé, Shirley et son fils Gary, Josiane, son mari Marcel et Marcel junior, Philippe Iris et leur fils Alexandre, Henriette l'horrible mère de Joséphine et d'Iris, etc.....
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Le style, certes, n'était pas extraordinaire, mais l'histoire assez dynamique pour me permettre d'aller jusqu'au bout des deux volumes.



J'ai attendu longtemps, plusieurs mois, pour arriver à lire le troisième de la série, « Les écureuils sont tristes le lundi à Central Park ». En effet, j'étais sur liste d'attente à la Bibliothèque que je fréquente. Ce qui montre bien le succès apparent du roman.



L'ayant eu enfin dans les mains, je m'y suis vite plongée, dans l'espoir de retrouver l'intérêt que j'avais éprouvé pour les personnages.



Mais je dois dire que la flamme ne s'est jamais rallumée. Le rythme lent, les idées assez fumeuses du scénario, la banalité des propos, … tout cela s'étirant, qui plus est, sur 853 pages qui en paraissaient le double ! J'ai failli plusieurs fois quitter le livre. Et puis, j'avais quand même envie de voir où Joséphine et son entourage allaient et aboutissaient.



Beaucoup de niaiseries étaient écrites, cela en devenait parfois gênant !

Et l'intérêt peu à peu s'est amenuisé comme peau de chagrin.



C'est avec un ouf de soulagement que je suis arrivée à la dernière page.... et vous, qui lisez mes chroniques, j'aimerai bien avoir votre avis ! Savoir si je suis passée à côté du livre ou si vous avez éprouvé les mêmes impressions que moi. A bientôt de vous lire, donc !