de Jonathan Kellerman

Éditions Points Poche Policier septembre 2011

Jonathan Kellerman est un écrivain américain de romans policiers. Il est né en 1949 à New York. Il a fait des études de psychologie et s'est spécialisé dans la psychologie clinique pédiatrique.
Il publie son premier roman aux États-Unis en 1986 : « le rameau brisé », couronné du prix prestigieux le Edgar-Allan-Poe.
Du coup, il se consacrera entièrement à l'écriture. Il en est à une trentaine de romans.
Kellerman_2.jpg En France, 25 de ses livres ont été publiés, celui dont je vais vous parler en est le 22ème.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de base pour bâtir ses histoires.
Un de ses héros, Alex Delaware, est un psychologue pour enfants, son double en quelque sorte !

Dans « Habillé pour tuer », une jeune fille, Kate, a disparu de Los Angeles. Sa mère, appelée par une amie proche de la disparue, commence à s'inquiéter. Bien qu'elle soit habituée à ce que sa fille ne donne pas signe de vie régulièrement, elle commence à trouver étrange son absence.
Milo Sturgis est chargé de cette enquête, ainsi que de replonger dans un vieux dossier de seize ans, un dossier de disparition d'un jeune noir, dont un condamné à mort d'un état voisin s'accuse, pour retarder le moment fatal de son exécution, et de voir pourquoi une voiture luxueuse a été volée puis retrouvée par son propriétaire à quelques pâtés de maisons de chez lui, avec une trace de sang. Trois « petits cas » cas pour un retour en activité.
Mais voilà qu'une quatrième affaire lui tombe dessus :
Une vieille dame bien sous tous rapports, 73 ans, à la retraite, a été sauvagement assassinée en cherchant son journal au bout de son jardin, un dimanche matin, dans sa boite aux lettres.
Accompagné de son ami et complice psychologue Alex Delaware, il va nous entraîner dans les arcanes bien sombres de l'âme humaine …..
Situations crédibles, personnages bien campés, Jonathan Kellerman nous conte à sa façon de sombres histoires qui se recoupent plus ou moins, nous tiennent en haleine, de telle sorte qu'il est impossible de lâcher le livre avant le dernier mot de la dernière page.

Tel père, tel fils ….. pour qui a lu « Visages » de Jesse Kellerman ….. belle lignée d'écrivains !